Nous avons découvert ce lieu en septembre 2015, et nous avons eu un grand coup de cœur pour le cadre, la station de Vaujany, et le bâtiment.
Les travaux n’ont bien sûr pas été de tout repos, et nous ont apporté leurs lots de mauvaises surprises, mais dès que nous sommes là, nous retombons sous le charme.
La vue est magnifique, le cadre sérénisant, et le bâtiment offre plein d’espaces différents avec un intérêt pour chacun…
La salle voutée doit être la plus belle de la région, la véranda avec vue sur le lac permet de profiter d’être presque dehors même quand il ne fait pas beau, le bar est chaleureux et la cheminée pleine de promesses, le petit haut-vent appelle à s’y retirer et s’assoir sur ses chaises suspendues, la levée de grange à l’arrière aménagée donne un point de vue sur la cascade de la Fare et l’arrière des Grandes-rousses, les balcons sur le lac du Verney, et chacun des appartements a une ambiance différente…
Le chemin communal qui va jusqu’au lac de Grand-maison passe juste derrière le bâtiment. Une randonnée à la demi-journée permet de descendre et de faire le tour du lac, puis de remonter en passant par Oz. Et la route de l’Enversin est idéale pour les footing, ou les promenades sans effort.
Vaujany est incroyablement équipée. Le télécabine permet de rejoindre l’Alpette, avec son chapelet de lacs allant jusque l’Alpe d’Huez. Le pôle de loisir contient entre autre une patinoire, une piscine, un bowling, un cinéma… La patinoire est extraordinaire … Et la piscine avec hammam, sauna et jacuzzi… En dehors de la haute saison, une route permet d’atteindre le col du Sabot, et des chemins permettent de monter du hameau de la Vilette au plateau de Montfrais, et même l’Alpette, en passant tout à côté de la cascade de la Fare…
Et en s’éloignant en voiture (nous ne le faisons pas en vélo…) on peut aller au col de la croix de fer, après avoir longé le lac de Grand’maison, ou se faire peur en passant par le chemin de la Confessions au dessus des falaises de Bourg d’Oisans, ou encore à l’automne monter vers le col d’Ornon et s’ébouillir avec les couleurs des arbres.